La maison de John Soane à Londres est un lieu à ne pas éviter lorsqu'on s'intéresse à ce Londres du XIXe siècle encore terriblement présent, et qui fait cette caractéristique de la ville, intégrant des périodes très différentes, les mélangeant comme dans une recette de magie qui fait qu'on ne s'étonne d'aucun imaginaire britannique, qu'il soit celui de Lewis Caroll, de James Barrie, ou aujourd'hui de Joanne Rowling.
Il y a de cela dans la maison de Sir John Soane, esprit éclairé qui fut architecte, franc-maçon dans cette fin du XVIIIe siècle, qui se passionna pour, Pompéi, Venise, et donna ce relief particulier d'un regard fasciné par l'Italie lorsque les brumes londoniennes incitaient les Britanniques fortunés à explorer la Méditerranée. Il en rapporta des antiquités égyptiennes, romaines, etc. et en garnit sa maison comme un cocon douillet farci de ce pouvoir de l'image, rassemblant, en plein centre de Londres et en ce lieu unique, le moyen de relier l'Italie à ce lieu incontournable qu'était déjà Londres alors, place de départ et de retour pour apprécier et conquérir le monde.
Il y a de cela dans la maison de Sir John Soane, esprit éclairé qui fut architecte, franc-maçon dans cette fin du XVIIIe siècle, qui se passionna pour, Pompéi, Venise, et donna ce relief particulier d'un regard fasciné par l'Italie lorsque les brumes londoniennes incitaient les Britanniques fortunés à explorer la Méditerranée. Il en rapporta des antiquités égyptiennes, romaines, etc. et en garnit sa maison comme un cocon douillet farci de ce pouvoir de l'image, rassemblant, en plein centre de Londres et en ce lieu unique, le moyen de relier l'Italie à ce lieu incontournable qu'était déjà Londres alors, place de départ et de retour pour apprécier et conquérir le monde.
Thomas Lawrence - Portrait of John Soane - 1829 |
ils sont parfois surprenants les britanniques. d'ailleurs ils niquent très bien.
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