On a un peu oublié Jean Lurçat, décédé en 1966 à Saint-Paul de Vence. L'une de ses grandes tapisseries est Le chant du monde, longue de 80 mètres dans laquelle il évoque l'Apocalypse et le traumatisme des deux guerres qu'il a connues.
Je signale, de manière anecdotique, qu'il est l'auteur d'un petit ouvrage érotique, Roger ou les à-côtés de l'ombrelle, paru sous le nom de Jean Bruyère dont il réalise les gravures.
Son oeuvre est dense, éclectique, humaniste. Elle s'inspire beaucoup de ses voyages, notamment en Méditerranée et en Orient.
Sur sa tombe se trouve une épitaphe : «C'est l'aube», qui résume la phrase complète «C'est l'aube d'un temps nouveau où l'homme ne sera plus un loup pour l'homme».
Son oeuvre devrait être revisitée dans les temps qui viennent : une exposition lui était consacrée l'an dernier à la Galerie des Gobelins à Paris du 4 mai au 18 septembre 2016, pour le cinquantenaire de sa mort.
Je signale, de manière anecdotique, qu'il est l'auteur d'un petit ouvrage érotique, Roger ou les à-côtés de l'ombrelle, paru sous le nom de Jean Bruyère dont il réalise les gravures.
Son oeuvre est dense, éclectique, humaniste. Elle s'inspire beaucoup de ses voyages, notamment en Méditerranée et en Orient.
![]() |
Jean Lurçat - Pernambouc |
Son oeuvre devrait être revisitée dans les temps qui viennent : une exposition lui était consacrée l'an dernier à la Galerie des Gobelins à Paris du 4 mai au 18 septembre 2016, pour le cinquantenaire de sa mort.